Une identité rurale
Commune longtemps tournée vers l’activité agricole, elle évolue aujourd’hui vers des secteurs tertiaires et secondaires, tout en conservant une identité rurale, marquée par un fort dynamisme associatif.
Couffouleux possède une agglomération urbaine récente, datant du XIXe siècle et dont l’origine est liée à la création de la voie ferrée Toulouse-Paris par Capdenac.
Quatre hameaux structurent par ailleurs le territoire communal : Saint-Pierre de Bracou, Sainte-Quitterie, Saint-Victor, Saint-Waast.
Chacun de ces hameaux est doté d’une église (Saint Waast et Saint-Pierre de Bracou sont classées monuments historiques) et dans un passé encore récent disposait d’une école.
Si une grande partie de l’espace bâti est diffus, avec une majorité d’implantations le long des routes et voies rurales, le regroupement des commerces, des équipements et des services publics (mairie, école, gare, salle polyvalente et gymnase…), le long de la départementale entre le château d’eau et le pont qui enjambe le Tarn, a participé et concourt encore au développement du centre du village.
Une expansion récente
L’autoroute A68 a fait de Couffouleux une porte du Tarn à mi-chemin entre Toulouse et Albi. La création de l’échangeur lui a donné une nouvelle impulsion. Sa population, en croissance constante et maîtrisée par une politique d’urbanisme raisonnable, était, selon le dernier recensement, de 2847 habitants.